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NATUREL vs DOPE un combat perdu d’avance

Quelle est l'efficacité des stéroïdes anabolisants pour la croissance musculaire?

Avec les scandales de dopage qui dominent les manchettes et les alternatives juridiques qui semblent faire sortir de l'eau le secret le mieux gardé de plusieurs stars de cinéma, j'ai pensé qu'il serait approprié de mettre en contexte l'utilité des stéroïdes anabolisants.

Ce graphique représente les données de l'étude classique Basin publiée en 1996.

Dans ce document, les auteurs ont pris 43 hommes formés à la force et les ont soumis à un programme de formation de 3 jours par semaine pendant 10 semaines.

Les hommes ont été divisés en quatre groupes présentés ici:

1- Pas d'exercice plus placebo 2- Pas d'exercice plus 600 mg d'énanthate de testostérone par semaine 3- Exercice plus placebo 4- Exercice plus 600 mg de testostérone énanthate par semaine

Ce qui m'a surpris quand je suis tombé sur cette étude, c'est que le groupe qui était assis sur leurs culs pendant 10 semaines a gagné plus de masse corporelle maigre que le groupe prenant des injections de placebo (3,2 vs. 2kg).

Alors que cette dose augmenterait la testostérone à des niveaux plus élevés que n'importe quel humain peut produire naturellement, 600 mg par semaine est une dose assez modérée de testostérone. Il n'est pas rare pour les bodybuilders de prendre plus de 10 fois ce montant par semaine à travers un cocktail de composés anabolisants.

Les résultats restants sont comme prévu, avec la formation de groupe plus injection de testostérone voir les plus grands gains (6,1 kg).

Cela ne veut pas dire que les personnes qui décident de prendre des stéroïdes ne travaillent pas dur. Ils font. En fait, la plupart ont tendance à s'entraîner plus fort dans un sens absolu, en raison des capacités de récupération plus grandes offertes par l'utilisation de stéroïdes.

Pour résumer ce post: Quelle est l'efficacité des stéroïdes anabolisants pour la croissance musculaire? Eh bien, la différence est la nuit et le jour.

Le document: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8637535